Spectacle de danse

Un monde de poésie et de douceur, une ode à la nature, une histoire de la danse et bien des choses encore

à découvrir en famille dès 3 ans 

le samedi 23 mars à 17h salle La Perle

NINIKA
Pièce chorégraphique et musicale pour 3 interprètes
Durée : 45 mn
A partir de 3 ans

Blanc de l’hiver, rouge parce que flamboyant… Ninika ou le bourgeon en basque est une ode au corps, au travers du vêtement et du mouvement, durant laquelle petits et grands partageront un fort moment de poésie et sensualité.
Cette pièce chorégraphique pour 3 danseurs où s’entrelacent langages contemporain et traditionnel basque s’adresse à un jeune public à partir de 3 ans. Aussi, poésie et absurde cadencent le fil des saynètes ; et Ninika, de par son ambiance rouge du sol, ses éléments cubiques gigognes blancs qui modèlent l’espace et le temps nous transporte vers l’essence… l’essence même du mouvement corporel.
Au travers du vêtement, de l ’histoire du costume, Ninika nous entraîne dans un voyage intemporel et transtemporel qui, au fil des saisons, habille et déshabille pour nous mettre face à une certaine nudité. Ainsi, Ninika trouve également une résonance dans un public adulte qui y trouvera sa propre lecture.

ENTRÉE :  

  • 5€ pour les moins de 12 ans
  • 10€ pour les adultes
  • Gratuit pour les moins de 3 ans

Infos et réservation : 
Mairie de Saint-Pierre d’Irube : 05 59 44 15 27
@ : communication@saintpierredirube.fr

Billetterie : 

  • Achetez vos places à la mairie de Saint-Pierre d’Irube (1 Plaza Berri 64990 Saint-Pierre d’Irube) à partir du 04 mars.
  • Sur place : La billetterie ouvre à 16h, Salle La Perle, avenue de la Basse Navarre.

 

Distribution
Interprètes :
Arantxa Lannes
Célia Thomas
Oihan Indart

Chorégraphie :
Pantxika Telleria

Assistant à la mise en scène :
Joxelu BERASATEGI

Conseiller danse traditionnelle :
Jon Maya

Musique :
Joseba Irazoki

Création Lumières :
Javi Ulla

Scénographie et visuel:
Maialen Maritxalar

Costumes :
Karine Prins

Accessoires :
Annie Onchalo et Cie Suak

Production :
Guilhem Boudières

La Presse en parle

» Si vous voulez avoir une idée de ce que peuvent être la beauté, la grâce, la pureté, courez voir Ninika, un ballet qu’on peut classer Tout public plutôt que ce Jeune public réducteur qui lui est attribué.
Pantxika Telleria, chorégraphe basque, nous fait vivre un moment d’une infinie poésie, de l’éclosion du printemps (Ninika veut dire bourgeon en basque) à l’hiver symbolisé par un sol uniformément rouge correspondant à l’expression « negu gorri gorria » (hiver rouge).
Sur ce sol rouge, trois éléments blancs, un arbre magique immense et deux petits igloos d’où vont peu à peu émerger un bras, une tête, une jambe.
On va alors assister à un « Éveil du printemps », tout en légèreté, les deux danseuses et le danseur vagabondent, semblent s’envoler, découvrent le monde, se réchauffent auprès d’un feu de bois astucieusement suggéré.
Peu à peu, ils se dépouillent de leurs vêtements pour devenir plus légers encore, comme après une mue.
Danse contemporaine et danse traditionnelle basque se mêlent dans des chorégraphies épurées dont la légèreté n’exclut pas la puissance, qui nous emportent ailleurs comme en un rêve, dans un monde où seules régneraient l’harmonie, la délicatesse, l’élégance et l’innocence. »
Nicole Bourbon pour Reg’Arts

« La compagnie Elirale de l’excellente chorégraphe « basque » Pantxika Telleria propose, avec « Ninika », un trio clair, poétique et sensuel pour évoquer les relations entre humains et avec la nature. Pas didactique mais ludique, ouvert et inspirant. »
Artistik Rezo, Thomas Hahn
 
« La compagnie EliralE de Pantxika Telleria parvient à rendre accessible la danse aux enfants dès trois ans, avec délicatesse et sensualité, tout en réécrivant la gestuelle traditionnelle basque. Sans doute l’une des meilleures propositions du « off » pour les familles. »
Journal La Croix, Marie Soyeux

« Mélangeant habilement les pas du folklore basque à des figures plus contemporaines, nous voilà embarqués dans ce monde blanc et rouge avec son arbre à tiroirs qui change au gré des saisons. Dans cet espace en perpétuel changement, on passe des futilités enfantines à des plaisirs d’un peu plus grands. »
DANSER Canal Historique, Agnès Izrine

« C’est à une forme de Sacre du printemps, un rituel de passage vers l’âge adulte, auquel nous assistons; un spectacle plaisant, bien interprété, tout en sensualité. Cette chorégraphie matinale est à découvrir. »
Théâtre du blog, Jean Couturier

« Un langage chorégraphique original, épuré, d’une grande beauté. Un spectacle à voir absolument en famille! »
Ma Librairie,  Claudia Lucia